Ce lien très fort entre le Sacrement Eucharistique et le sacrement de Réconciliation
Pendant ce Carême, redécouvrons la Messe sous l’angle du Sacrifice du Christ. Lors de la Messe, le Christ se donne aux pécheurs, nous avons à nous reconnaitre pécheurs pour pouvoir accéder à son Sacrifice, à accepter de mourir à nous –même pour pouvoir revêtir le Christ : il y a donc un lien très fort entre le Sacrement Eucharistique et le sacrement de Réconciliation. Si nous en prenons réellement conscience, il nait en nous le désir de s’abreuver à l’Eucharistie de plus en plus fréquemment, et de s’en rendre digne par la Confession.
La mort du Christ sur la Croix vient en effet, nous convaincre de la Rédemption : le péché n'est pas une idée floue ou une vue de l’esprit. Nous avons à (re)découvrir le Bien, et à admettre son absence dans le mal, en nous rappelant qu'il n'y a pas un "truc intermédiaire" presque bien ou pas tout à fait mal... Cà c’est la voix et la voie du relativisme… Nous sommes donc invités à regarder notre vie avec la clarté du Sacrifice entier de Dieu pour nous. Soit nous décidons de suivre le Christ, de nous configurer à Lui, soit nous décidons de Lui tourner le dos. Soit nous témoignons de Lui, soit nous sommes un flagrant contre-témoignage qui dessert le Corps entier de l’Eglise. Si nous avons du mal à voir nos péchés, si notre conscience est embrumée, si nous pensons que nous posons des actes pas tout à fait bien ni complètement mal, c'est que nous manquons de cette radicalité du Christ!
Demandons-Lui dans la prière, cette radicalité pour mourir à nous-mêmes, vraiment, pour de vrai ! Sans cette radicalité, nous pouvons vivre de belles choses, certes, mais la croissance spirituelle de notre âme est comme bloquée par un plafond de verre. Alors que quand nous faisons de plus en plus régulièrement l’expérience de la Miséricorde dans la Confession, et que nous vivons de cette grâce renouvelée, nous faisons des bonds de géants, car en nous rapprochant tout contre le Cœur de Dieu, en veillant à ce que rien n’empêche, n’obstrue ce cœur à cœur, celui-ci irrigue notre âme « en direct » et notre vie de prière, notre vie missionnaire, notre désir de Dieu grandissent à l’infini !
Pendant ce Carême, redécouvrons la Messe sous l’angle du Sacrifice du Christ. Lors de la Messe, le Christ se donne aux pécheurs, nous avons à nous reconnaitre pécheurs pour pouvoir accéder à son Sacrifice, à accepter de mourir à nous –même pour pouvoir revêtir le Christ : il y a donc un lien très fort entre le Sacrement Eucharistique et le sacrement de Réconciliation. Si nous en prenons réellement conscience, il nait en nous le désir de s’abreuver à l’Eucharistie de plus en plus fréquemment, et de s’en rendre digne par la Confession.
La mort du Christ sur la Croix vient en effet, nous convaincre de la Rédemption : le péché n'est pas une idée floue ou une vue de l’esprit. Nous avons à (re)découvrir le Bien, et à admettre son absence dans le mal, en nous rappelant qu'il n'y a pas un "truc intermédiaire" presque bien ou pas tout à fait mal... Cà c’est la voix et la voie du relativisme… Nous sommes donc invités à regarder notre vie avec la clarté du Sacrifice entier de Dieu pour nous. Soit nous décidons de suivre le Christ, de nous configurer à Lui, soit nous décidons de Lui tourner le dos. Soit nous témoignons de Lui, soit nous sommes un flagrant contre-témoignage qui dessert le Corps entier de l’Eglise. Si nous avons du mal à voir nos péchés, si notre conscience est embrumée, si nous pensons que nous posons des actes pas tout à fait bien ni complètement mal, c'est que nous manquons de cette radicalité du Christ!
Demandons-Lui dans la prière, cette radicalité pour mourir à nous-mêmes, vraiment, pour de vrai ! Sans cette radicalité, nous pouvons vivre de belles choses, certes, mais la croissance spirituelle de notre âme est comme bloquée par un plafond de verre. Alors que quand nous faisons de plus en plus régulièrement l’expérience de la Miséricorde dans la Confession, et que nous vivons de cette grâce renouvelée, nous faisons des bonds de géants, car en nous rapprochant tout contre le Cœur de Dieu, en veillant à ce que rien n’empêche, n’obstrue ce cœur à cœur, celui-ci irrigue notre âme « en direct » et notre vie de prière, notre vie missionnaire, notre désir de Dieu grandissent à l’infini !
Paru dans Parole & Prière de mars MMXIX