Dans nos quotidiens qui filent à toute allure sur la crête de l’immédiateté, dans une digitalisation massive de nos vies, qu’il est parfois difficile de se rappeler l’évidence : que l’eau mouille !
Et pourtant, les émotions sont devenues reines et l’on pourrait croire à un plus fort principe de réalité du fait de l’hypersensibilisme ambiant. En fait c’est un leurre. Chaque sentiment étant très rapidement chassé par un autre, nos pauvres personnes se retrouvent happées par une escalade sans fin qui empêchent l’introspection et l’acceptation de la réalité, de la vérité de notre vie.
Nous, parents, avons à encourager chez nos enfants ces temps d’introspection, ces temps où l’on accepte de s’arrêter pour regarder derrière et réajuster son cap en avant. Les spirales des réseaux sociaux aspirent littéralement nos jeunes qui n’ont pas encore suffisamment de force d’âme pour s’en extraire et prendre du recul : les cabales sur Insta se propagent plus vite que la lumière avec des effets dévastateurs pour les jeunes ciblés, mais aussi pour les jeunes diffuseurs qui ne se retrouvent jamais en face des dégâts qu’ils ont participé à causer.
Encourageons donc des vacances sans connexion, des dimanches sans réseaux, des plages horaires dans la journée, en montrant l’exemple bien évidemment. Ceci permettra de toujours garder la tête froide ainsi qu’un principe de réalité bien ancré. Nous sommes incarnés, et notre chair nous permet de nous dire à l’autre, d’entrer en vraie relation. Ne nous laissons pas confisquer la vérité de notre être, notre incarnation et notre aptitude au don. La profusion d’informations, de groupes whatsapp et autres moyens de rester « en contact » justement nous prive du contact réel et juste avec la réalité des choses, biaisant des propos, surinterprétant des paroles, ou blessant par laconisme ou manque de délicatesse.
Encourageons nos enfants à voir leurs amis en vrai, à vivre des événements réellement, en chair et en os, à contempler plutôt qu’à se perdre en selfies, à se recevoir de Dieu pleinement pour pouvoir donner et se donner. Quel est mon premier geste au réveil, recevoir cette nouvelle journée du Seigneur, ou bien regarder si j’ai des messages ? Osons le principe de réalité, regardons la vérité en face et attelons-nous à vivre par Dieu et pour Dieu.
Dans nos quotidiens qui filent à toute allure sur la crête de l’immédiateté, dans une digitalisation massive de nos vies, qu’il est parfois difficile de se rappeler l’évidence : que l’eau mouille !
Et pourtant, les émotions sont devenues reines et l’on pourrait croire à un plus fort principe de réalité du fait de l’hypersensibilisme ambiant. En fait c’est un leurre. Chaque sentiment étant très rapidement chassé par un autre, nos pauvres personnes se retrouvent happées par une escalade sans fin qui empêchent l’introspection et l’acceptation de la réalité, de la vérité de notre vie.
Nous, parents, avons à encourager chez nos enfants ces temps d’introspection, ces temps où l’on accepte de s’arrêter pour regarder derrière et réajuster son cap en avant. Les spirales des réseaux sociaux aspirent littéralement nos jeunes qui n’ont pas encore suffisamment de force d’âme pour s’en extraire et prendre du recul : les cabales sur Insta se propagent plus vite que la lumière avec des effets dévastateurs pour les jeunes ciblés, mais aussi pour les jeunes diffuseurs qui ne se retrouvent jamais en face des dégâts qu’ils ont participé à causer.
Encourageons donc des vacances sans connexion, des dimanches sans réseaux, des plages horaires dans la journée, en montrant l’exemple bien évidemment. Ceci permettra de toujours garder la tête froide ainsi qu’un principe de réalité bien ancré. Nous sommes incarnés, et notre chair nous permet de nous dire à l’autre, d’entrer en vraie relation. Ne nous laissons pas confisquer la vérité de notre être, notre incarnation et notre aptitude au don. La profusion d’informations, de groupes whatsapp et autres moyens de rester « en contact » justement nous prive du contact réel et juste avec la réalité des choses, biaisant des propos, surinterprétant des paroles, ou blessant par laconisme ou manque de délicatesse.
Encourageons nos enfants à voir leurs amis en vrai, à vivre des événements réellement, en chair et en os, à contempler plutôt qu’à se perdre en selfies, à se recevoir de Dieu pleinement pour pouvoir donner et se donner. Quel est mon premier geste au réveil, recevoir cette nouvelle journée du Seigneur, ou bien regarder si j’ai des messages ? Osons le principe de réalité, regardons la vérité en face et attelons-nous à vivre par Dieu et pour Dieu.